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faire appel a un coach parental

Prendre un RDV de coaching parental (OFFERT)

Dans cet article, je vous donne plus de détails sur le coaching parental et les 5 raisons principales qui poussent les parents que j’accompagne à faire appel à moi :

coaching parental


Le coaching parental, qu’est-ce que c’est ?

Pour la majorité des parents (92%), il n’y a pas de plus grand succès dans la vie que d’être un bon parent*. Et pourtant, devenir et être parent n’est pas une mince affaire ! En cas de conflits à la maison ou d’épuisement parental, les parents se sentent souvent seuls et dépassés. Ce n’est pas facile de trouver une écoute empathique, non-jugeante, des conseils avisés, ou même des solutions concrètes à ses problématiques de parentalité dans des livres, ou auprès de proches.

C’est dans ce domaine que le coach parental peut être un véritable soutien. Il/Elle aide les parents à surmonter une difficulté passagère et alléger le poids qui pèse sur leurs épaules fatiguées.

soutien

Définition et missions du coach parental

La mission du coach parental, c’est d’aider les parents à mieux comprendre leur enfant/ado, et les guider afin de renforcer leurs compétences parentales pour gagner en sérénité et retrouver le bonheur d’être parent. L’accompagnement est réalisé sous forme d’écoute empathique (posture de non-jugement), de conseils adaptés à votre situation, et de partage d’outils concrets. Ce coaching permet aux parents de :

  • déculpabiliser et reprendre confiance en eux sur l’éducation de leurs enfants/ados
  • adapter au mieux leurs comportements éducatifs et leurs méthodes de communication, en fonction des besoins identifiés (les leurs, et ceux des enfants) et les divers stades de développement de leurs enfants
  • Sortir de l’épuisement parental et du recours aux violences éducatives ordinaires (VEO)
  • retrouver une sérénité (perdue) dans leur vie de famille et s’épanouir (à nouveau) en tant que parent.

Moins de cris, moins de conflits, et davantage de partage, de rires et de bonheur au quotidien. Bref, des parents bien dans leurs chaussons et des enfants bien équilibrés dans leurs baskets ! En résumé, le coaching parental, c’est un accompagnement du parent, 100% personnalisé, non jugeant, motivant et soutenant. Un peu comme un coach en développement personnel, mais focalisé uniquement sur les problématiques de parentalité et de vie de famille.

 

Exemples de cas concrets de coaching parental

besoin coaching parental

Voici quelques exemples (liste non exhaustive) :

  • Mettre en place des stratégies éducatives pour se faire obéir sans crier. Obtenir la coopération de son enfant.
  • Gérer les conflits/jalousie dans la fratrie.
  • Trouver le bon équilibre entre bienveillance et fermeté dans l’éducation de son enfant.
  • Accompagner son ado dans sa quête identitaire, ses décharges émotionnelles, ses comportements à risque.
  • Surmonter un événement difficile (séparation, deuil, déménagement).
  • Gérer les confits, les oppositions, les rebellions de son enfant/ado.
  • Eviter ou surmonter l’épuisement parental (burn-out parental).
  • Accompagner son enfant vers plus d‘autonomie, de confiance en lui, de joie de vivre.
  • Aider son enfant à mieux réguler ses émotions (colère, peurs, tristesse, joie, etc) et apaiser ses tempêtes émotionnelles.
  • Renouer le lien parent-enfant et reprendre du plaisir à être papa/maman.
  • Définir la juste/bonne place des écrans dans la vie de son enfant/ado.

 

    Différences entre coach parental et psychologue

    psychologue et coach parental

    Travailler sur soi avec un psychologue

    Lorsqu’on démarre un travail sur soi auprès d’un psychologue, c’est dans le but de soigner/traiter un trouble psychologique, ou un travail en profondeur sur une blessure du passé. Par exemple, une phobie, un traumatisme, une blessure émotionnelle non cicatrisée. De plus, le psychologue accompagne également les personnes souffrant de pathologies/troubles tels que la schizophrénie, bipolarité, le trouble borderline, les psychoses, névroses, la dépression, etc. Le psychologue débute son accompagnement en établissant un diagnostic de maladie, ou le dépistage d’un trouble. Il peut être en mesure de réaliser des tests (QI, etc) et définit un protocole de prise en charge (thérapie) pour « réparer », cicatriser ou soigner un mal-être psychologique.

    Se faire accompagner par un coach parental

    Le coach parental, au contraire, s’articule autour d’un but spécifique, à atteindre dans le futur. L’accompagnement débute par la formulation d’un objectif réaliste et concret, par le parent à l’aide du coach. Il se termine lorsque l’objectif est atteint. Par exemple : « je souhaite aider mon enfant de 8 ans à être plus autonome dans les tâches du quotidien ». Ou bien « je voudrais arrêter de crier sur mes enfants lorsqu’ils pleurent ou se mettent en colère ».

    Le coach parental ne « creuse » pas vraiment dans le passé et ne soigne pas les blessures émotionnelles du parent. La seule référence au passé explorée, c’est lorsque le parent a besoin de prendre conscience, que ses propres blessures d’enfant impactent, aujourd’hui, ses comportements de parent. Le coach en parentalité propose une écoute empathique (avec une posture de non-jugement), un soutien solide, des conseils adaptés et des outils concrets sur les problématiques familiales du présent.

    Complémentarité des deux professionnels

    Ceci étant dit, psychologues et coachs en parentalité peuvent tout à fait travailler main dans la main, sur une problématique qui impacte le bonheur et/ou la sérénité de la famille. Par exemple, un enfant peut être suivi par un psychologue pour un TDAH (Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité), et en parallèle, le coach parental accompagne son parent dans l’adaptation de ses comportements éducatifs.

    5 raisons de faire appel à un coach parental

    1. Pour se rassurer sur le bon développement de son enfant et faire ses propres choix éducatifs

    Votre belle-mère vous dit que votre enfant « devrait arrêter de faire des caprices à cet âge-là ». Votre meilleure copine vous dit « laisse-le pleurer, sinon il va s’habituer à être toujours dans les bras ». Vous… Et bien, vous découvrez chaque jour ce que « être parent » signifie ! Tout est nouveau, rien n’est simple. Peu de choses s’avèrent être comme vous l’aviez imaginé ou rêvé, et vous pouvez vous sentir perdu(e). Vous êtes attiré(e) par le principe de la parentalité positive, de la méthode Montessori, mais vous n’êtes pas sûre de les comprendre ? Pas convaincu(e) que ces méthodes éducatives sont adaptées à votre famille ? Votre enfant n’est pas sage, ni obéissant, ni parfait : vous vous interrogez « est-ce normal » ?

    Faire appel à un coach en parentalité, vous permet de mieux comprendre comment votre enfant se développe, jour après jour. Cet accompagnement vous permet d’identifier plus facilement ses besoins à chaque stade de développement. Le coach parental partage son expertise et des outils adaptés. Il/Elle vous rassure et vous aide à définir vos propres choix concernant l’éducation de vos enfants.

    2. Pour déculpabiliser d’être un parent imparfait et retrouver la sérénité

    Vous vous sentez nul(le) ou impuissant(e) ? Souvent, vous criez sur vos enfants et puis vous culpabilisez ? Parfois, vous avez l’impression de ne pas être à la hauteur et de « mal faire » ? Vous n’êtes pas tout seul(e) ! D’après une étude récente, 53 % des parents se sentent plus stressés que ne l’étaient leurs parents à l’époque. Et pire, 70% des parents d’aujourd’hui ressentent une pression sociétale à être de bons parents (contre 39% des grands-parents à leur époque)**.

    Vouloir être un parent parfait, c’est souvent un objectif inconscient, mais puissant, qui impacte fortement nos comportements de parent ! Ceci étant dit, vous conviendrez bien que c’est un objectif irréaliste ! Et d’ailleurs, j’ai écrit un article sur mon propre déclic de mère imparfaite (pour le lire, cliquez ici). Un coach parental peut vous aider à travailler sur ce point-là, prendre du recul et augmenter votre seuil de tolérance personnel.

    3. Pour trouver des solutions concrètes à l’épuisement parental et remonter la pente

    Vous en avez assez de répéter 20 fois une consigne sans faire coopérer votre enfant ? De crier, punir, utiliser le chantage et la menace pour vous faire obéir ? Vous avez l’impression de vous battre avec votre enfant opposant toute la journée ? Parfois, vous êtes confrontés à une épreuve/défi parentalité pour lequel vous ne voyez plus comment vous en sortir seul(e). Vous avez essayé plusieurs astuces mais rien de marche. Vous commencez à vous décourager, à vous sentir très fatigué(e).

    Vous vous sentez épuisé(e) rien qu’à l’idée de vous occuper de vos enfants. Vous êtes au bout du rouleau, et vous ne prenez plus de plaisir à être avec vos enfants ? Peut-être souffrez-vous de burn-out parental.

    Faire appel à un coach parental vous aide à comprendre votre épuisement, déculpabiliser et mettre en place un plan d’action pour surmonter ce passage à vide et retrouver un équilibre pérènne.

    4. Pour développer ses compétences parentales et faire face aux défis du quotidien

    Comme le disait Françoise Dolto « on ne nait pas parent, on le devient« . C’est avec le premier enfant que l’on devient parent, que l’on change de « statut », que l’on vit toutes les premières expériences de parent. Et d’ailleurs, j’ai écrit un article au sujet de la place de l’ainée dans la famille (pour le lire, cliquez ici.) Ensuite, à chaque étape, et avec chaque nouvelle naissance dans la fratrie, on continue à être confronté(e) à de nouvelles expériences. Comme par exemple les conflits entre frère et sœur 😉 !

    Chaque nouvelle découverte nous fait sortir de notre « zone de confort » parentale, et nous challenge. C’est en s’adaptant aux nouvelles situations, en surmontant les nouveaux défis que nous grandissons en tant que parent. Et si le parent que nous sommes, n’est pas assez proche du parent que nous voulons être, le changement est possible ! Le chemin est là, juste devant nous. S’améliorer et se développer est à la portée de tous/toutes.

    Parfois, ce chemin est difficile à parcourir seul(e). La montagne semble haute et inaccessible et le sentier, semé d’embûches. Dans ce cas, le coach en parentalité représente un guide de haute montagne, qui motive, conseille, rassure et vous permet de garder confiance dans le fait que le but est atteignable, mais à votre rythme.

    5. Pour nourrir et renforcer le lien parent-enfant

    Parfois, quand on vit nos vies en mode « speed », à 100km/h, on ne prend pas le temps de nourrir la relation unique que nous partageons avec chacun de nos enfants. On perd le fil, au quotidien, sur nos priorités de vie. Et puis un jour, on réalise que nos enfants ont grandi, qu’on ne les connait plus, qu’on ne les comprend plus. En découlent souvent les conflits, les oppositions, les distances émotionnelles. Nourrir son lien parent-enfant est essentiel pour votre bonheur, mais aussi pour le bonheur et le bon développement psychologique de votre enfant.

    Un coach parental peut vous accompagner à certaines prises de conscience, et vous aider, concrètement, à trouver du temps pour prendre soin de la relation unique parent-enfant que vous partagez avec chacun de vos enfants. Pour le bonheur de toute la famille 🙂 !

    Le coaching parental : est-ce pour vous ?

    Le coaching parental s’adresse aux parents qui s’engagent dans une démarche de changement, ou plutôt d’amélioration continue. Les recettes miracle ne fonctionnent pas ! Les résultats d’un coaching sont toujours progressifs, réalisés pas à pas, mais destinés à soutenir un changement significatif et durable. Le parent qui s’engage dans une démarche de coaching est prêt à se remettre en question, à changer, à s’ajuster pour obtenir des résultats très positifs sur sa vie de famille.

    Cette démarche peut faire un peu peur, mais soyez rassuré(e) : le coach parental vous aide à devenir la meilleure version parentale de vous-même, et non pas à devenir quelqu’un d’autre ! Les conseils et outils proposés sont destinés à être tester, avant d’être adopter s’ils fonctionnent pour VOTRE famille. Vous êtes le meilleur parent pour votre enfant, et parfois il suffit d’un petit coup de pouce pour le réaliser, le ressentir et s’épanouir dans cette facette de vous-même.

    Comment se passe un accompagnement / coaching en parentalité ?

    Coaching parental individuel

    Lors d’un accompagnement individuel, le premier rendez-vous (1h en général) permet de définir la problématique, le contexte, et formuler ensemble l’objectif du coaching. Cet objectif est spécifique, concret, constructif, mesurable, et positif. Chaque rendez-vous suivant permettra de faire état des changements de situation, bilan des tests d’outils proposés, nouvelles propositions d’ajustement. Lorsque l’objectif est atteint, l’accompagnement se termine par un bilan.

    En général, il faut entre 3 et 8 séances pour atteindre un objectif spécifique. Une fois l’objectif atteint, le parent peut, s’il en ressent le besoin, recommencer un nouvel accompagnement, avec la formulation d’un nouvel objectif.

    Coaching parentalité en groupe

    Si le coaching de groupe se réalise avec un groupe récurrent de parents, le format est généralement sous forme de groupe de parole, animé par le coach parental d’une durée de 1h30 à 2h par rendez-vous. Chaque réunion du groupe aborde un sujet en particulier, et les parents ont l’opportunité de partager leurs problématiques avec les autres parents, se sentir soutenu(s). Mais ils ont également l’opportunité de recueillir les conseils avisés et les apports théoriques du coach.

    Lors de coaching de groupe sous forme d’atelier ponctuel, le coach parental propose une thématique, partage les connaissances théoriques sur ce sujet. Puis il propose des exercices pratiques, adaptés à la thématique, à réaliser pendant l’atelier, seul(e) ou en petit groupe.

    Quel coach parental choisir ?

    Critère pratique / logistique

    Si vous avez besoin de quitter votre maison pour « couper », et que vous valorisez les échanges en face à face, choisissez un professionnel proche de chez vous. Vérifiez bien les horaires de rendez-vous. Si vous êtes speed et débordé(e), les séances en visioconférence sont idéales : une heure à caser dans votre agenda, à tout moment, sans temps de trajet, de parking, sans attente. Vous pourrez réserver un créneau adapté à votre agenda (temps de midi, début de soirée, samedi matin, etc).

    Critère émotionnel

    Un autre critère de choix très important également est le fait de suivre votre instinct et votre « feeling ». Le sentiment de confiance est essentiel pour que le coaching se passe au mieux : vous devez vous sentir en sécurité (émotionnelle) et en confiance avec votre coach. N’hésitez pas à prendre un premier contact de découverte avant de vous engager dans un coaching parental.

    Critère rationnel

    De toutes façons, optez pour un coach qui a bien été formé pour vous accompagner, et qui bénéfice d’une certification. Aujourd’hui, ce métier n’est pas réglementé par un diplôme d’état, alors n’hésitez pas à demander les certifications de la personne que vous avez sélectionnée.

    Critère financier

    Concernant les tarifs, ils sont très variables ! Renseignez-vous en amont sur les tarifs pratiqués par le coach de votre choix. A titre d’information, les coachs en parentalité sont en général rémunérés entre 50€-90€ la séance de 1h.

    Voilà, vous savez tout ! Alors…êtes-vous prêt(e) à vous faire aider ?

    *Étude Ipsos 2018 auprès de 500 parents et 500 enfants de 7 à 15 ans. **Étude Ipsos 2017 réalisée auprès de 551 parents (de 25 à 60 ans) d’enfants de 3 à 10 ans, 326 enfants de 7 à 10 ans et 562 grands-parents (de 50 à 75 ans) de petits-enfants de 3 à 10 ans.

    Le mime

    On pense à une expression française connue, comme par exemple "rire comme une baleine", et on doit la mimer pour la faire deviner aux autres. L'éclat de rire des enfants est souvent déclenché par un mime ridicule de son parent. C'est en voyant ses parents se lâcher, et exagérer les gestes que les enfants s'amusent le plus.  C'est un jeu marrant pour enrichir le vocabulaire des enfants et leur faire découvrir les expressions de notre belle langue française.

    Variante plus facile : celui qui mime fait des tours sur lui-même et s'arrête au stop. Il regarde devant lui et doit mimer un objet qu'il voit. Vous auriez dû me voir mimer la cafetière, c'était épique 😉 !

    Apprendre à observer : notre top 3 des jeux sans matériel (ou presque)  

    observation differences jeu sans materiel

    La machine à laver

    Le premier participant se présente, pendant 15 secondes et tourne sur lui-même. Tous les autres doivent bien le regarder attentivement. Puis il s'en va, et fait un tour dans la machine à laver. Il effectue 3 petits changements dans sa tenue (plus les enfants sont petits, plus les changements doivent être significatifs !). Puis, il revient et se soumet à nouveau au regard scruteur des autres. Les autres participants doivent retrouver tous les changements sans se tromper. C'est un jeu d'observation, dans lequel il faut savoir identifier les différences.

    Le cache-cache simultané

    Commencez par choisir 3 objets qui se portent (lunettes, chapeau, écharpe, etc). Idéalement, en puisant dans la pile de déguisement de vos enfants, mais sinon, des vêtements usuels feront l'affaire. Puis, sélectionnez une pièce (ou un espace) par participant, et on tire au sort le nom de celui qui trouve et celui qui cache pour chaque pièce. Chaque participant devra alors cacher 3 objets dans l'espace indiqué pour qu'un autre les trouve. Le jeu commence quand tous les objets sont cachés. On donne le top départ, et hop, chacun doit retrouver le plus vite possible ses 3 objets dans sa pièce désignée, et les porter. Le premier qui arrive au point de départ, et qui porte les 3 objets, a gagné.

    C'est un jeu d'observation mais aussi de rapidité ! Le fou rire est en général déclenché par les retrouvailles, lorsque tout le monde porte les objets, surtout si ce sont des déguisements mal accordés 🙂 .

    Les objets de couleur

    On désigne un joueur qui choisira la couleur. Il tourne sur lui-même, puis s'arrête au "Stop" des autres. Il ouvre les yeux, droit devant lui, et donne une couleur qui apparait sur des objets en face de lui. Tous les autres participants doivent toucher du doigt en nommant un objet de cette couleur. Celui, qui en voit (et touche) le plus, a gagné. Bien sûr, le défi du jeu est que personne ne peut toucher le même objet.

    Nos 2 jeux coopératifs sans matériel préférés

    jeux sans materiel

    Le chef de la tribu

     Tous les participants sont des singes, qui sont positionnés en cercle. Parmi les participants, un intru est désigné au hasard. Il provient d'un autre groupe de singe et ne sait pas qui commande dans le groupe. Son objectif est de découvrir qui est le chef de la tribu. Pour mettre en place le jeu, le singe intru doit fermer les yeux, boucher ses oreilles. Pendant ce temps-là, les autres singes coopèrent pour désigner le chef de la tribu. Le jeu commence ensuite : l'intru arrive et observe. Le chef de la tribu fait des gestes que les autres doivent reproduire à l'identique. En observant les mouvements, l'intru doit deviner et désigner le chef. Le chef de la tribu devient l'intru, et ainsi de suite

    L'histoire inventée

    Chacun votre tour, partagez une phrase qui permet de construire une histoire en groupe. Le premier commence par "il était une fois". Rajoutez du piment en finissant la vôtre par "quand tout à coup", ou commencez de manière absurde par "Il était une fois un petit carré qui voulait être un rond".

    Ce sont les dérives et l'humour qui rend ce jeu drôle. Par exemple quand votre bichette commence l'histoire par "Il était une fois une petite fille qui s'appelait Bichette et qui avait des super pouvoirs". Et que votre fils enchaine en disant "...cependant, ses super pouvoirs étaient pourris, comme par exemple, le pouvoir de voir à travers le verre". Chacun utilise l'humour pour construire une histoire qui lui donnerait le rôle du héros. Et d'ailleurs, j'ai écrit un article au sujet des histoires inventées, je vous laisse le découvrir ici.

    Il existe une variante très chouette aussi, qui nécessite une feuille de papier et un crayon. Chacun écrit une phrase, puis un seul mot sur la ligne suivante. On plie le papier de manière à cacher la première phrase, mais pas le mot en début de l'autre ligne. La personne suivante continue l'histoire en partant de ce mot, et ainsi de suite. A la fin, on lit toute l'histoire, qui est incohérente et absurde. C'est souvent très drôle !

    Favoriser un doux contact : notre top 3 des jeux sans matériel

     

    jeu de bisous sans materiel

    Le combat de coupe

     Un grand classique, qui permet de faire patienter un enfant dans une file d'attente. Ce jeu se joue à deux. On positionne sa main, comme lorsque l'on veut faire un pouce relevé. Puis on rapproche ses mains et on les accroche au niveau des 4 doigts fermés. Et puis, chacun doit essayer de coincer le pouce de l'autre sous le sien. 

    Le zombisou

    C'est un jeu où il y a, comme son nom l'indique, des zombies, et l'infection se transmet par des bisous dans le cou. On définit une zone dépourvue d'obstacle, puis on désigne un zombie zéro. Les autres joueurs sont les humains.

    Le but du jeu, est, pour ce zombie, d'infester tous les autres et les transformer en zombie par un zombisou. Le défi, c'est que les zombies sont aveugles (ils ferment les yeux), et que tous les humains peuvent changer de place ! Par contre, lorsqu'ils entendent le zombie zéro dire "gare à mes zombisous", ils se figent en statue, pris de terreur. C'est là que le zombie va pouvoir, toujours les yeux fermés, trouver le prochain humain à infecter par un zombisou. Une fois l'humain trouvé, zombisouté et transformé en zombie, ce dernier participe également à la chasse aux humains et peut également infecter un humain à son tour. Les humains se remettent en mouvement jusqu'au cri "gare à mes zombisous", et se figent, etc. Eventuellement, tout le monde devient zombie 🙂 et c'est la fin du jeu.

    C'est un jeu terrifiant, qui favorise le contact et aussi la tendresse des bisous.

    Le massage du petit biscuit

    C'est une manière ludique de masser votre enfant, en utilisant le jeu et la métaphore de la préparation d'un petit biscuit. L'enfant s'allonge sur le ventre, et l'adulte commence (et après on inverse !). Commencez par mettre les ingrédients sur le dos (on simule l'arrivée de la farine en pressant tout doucement différentes parties du dos). Puis on casse les oeufs, on ajoute le sucre (un peu plus lourd que la farine). Puis, on pétrit la pâte (roulé et pétrissage du dos). Ensuite on déroule la pâte (rouleau sur le dos). On emporte-pièces à différents endroits du corps. On saupoudre de sucre glace (on souffle). Et on finit par les croquer !

    Surprendre : nos 2 jeux gratuits à télécharger  

    La carte magique "Rire comme une baleine"

    Et pour finir, afin de continuer à explorer cette expression française "rire comme une baleine" que j'aime tellement, je vous offre un petit jeu gratuit à imprimer :  une carte magique à faire avec votre enfant. Il vous suffit d'imprimer une page recto/verso, suivre les instructions du tuto et vous obtiendrez une carte magique qui cache un message secret 🙂! Allez-vous le découvrir ? 

    Pour recevoir votre carte magique, cliquez ici !

    Les messages positifs personnalisés

     En répondant à un petit formulaire avec seulement 5 questions, recevez par email un fichier avec 15 messages positifs personnalisés. La personnalisation est réalisée à partir de vos réponses. Les messages d'encouragement sont destinés à être cachés dans les affaires de votre enfant, afin qu'il/elle puisse les découvrir au fur et à mesure. Voici une exemple :

    phrase positive

    Pour les recevoir, cliquez sur le bouton ci-dessous :

    Pour les messages positifs personnalisés, c'est ici !

     Ça y est, vous avez fait votre choix ?? J'ai hâte que vous partagiez vos éclats de rire et vos moments de complicité dans les commentaires ci-dessous ! Si vous connaissez d'autres jeux sans matériel auxquels vous adorez jouer en famille, partagez-les également ci-dessous 🙂 !